"Fondée peu ou prou, l'histoire de la plainte commence donc toujours par la fermeture sur soi et se poursuit avec le déni de la réalité pour s'achever en exigences et en revendications qui viennent frôler la paranoïa.[]Le début de la plainte était caractérisé par un écart ou un abîme entre la peine et son expression. Plus elle s'étend, plus grandissent l'écart ou l'abîme. Ce n'est plus seulement la douleur réelle ou supposée qui est mise à distance, c'est également ce qui la touche de près ou de loin, ce qui la cause et qui en est la conséquence."François Roustang, La fin de la plainte.
En écho à Cile.
3 commentaires:
Sais-tu qu'il est l'un des auteurs fétiches de F. ?
Un hasard… ou bien ??? ;-)
Je sais qu'il a pensé à toi aujourd'hui…
Et pas seulement parce qu'il aurait tant aimé avoir le don d'ubiquité !
Je t'embrasse.
Ça ne m'étonne pas ;-)
Je découvre à peine, et je m'arrête à chaque phrase. C'est un monde qui s'ouvre, où se réconcilient les deux approches auxquelles je me forme.
Tu te doutes bien de là où je récolte de telles références ;-)
J'ai beaucoup pensé à lui hier, et à toi aussi. Vous vous seriez régalés tous deux :-)
je t'embrasse
Je ne le connais pas encore, mais rendez-vous est pris !
Ne serait-ce que parce qu'il figure aussi en bonne place dans la bibliothèque de… tu sais qui ;-)
Vérification faite auprès de F. avant de lire ta réponse, je me suis en effet emmêlée les pinceaux dans les dates :-o
C'est donc bel et bien samedi qu'il pensait à toi (et à vous tous).
Le dimanche, c'était… moi :-)
Enregistrer un commentaire