Quand le train s'arrête, que je me pose, comme en cet instant, je réalise que je ne sais plus où j'en suis.
Une transformation est en cours, mais je serais bien en peine de savoir où elle me porte.
Je me demande parfois si elle me porte ailleurs que dans l'autocongratulation...
Une transformation est en cours, mais je serais bien en peine de savoir où elle me porte.
Je me demande parfois si elle me porte ailleurs que dans l'autocongratulation...
A suivre, car le temps presse à nouveau
5 commentaires:
Bon, je vois que nous en sommes au même point. Le meilleur moyen d'avancer reste encore de s'y encourager. Un peu d'autocongratulation ne peux pas faire de mal.
Mais au fond de nous-même, quand on s'y penche bien, nous savons que la transformation n'est pas le but, uniquement le chemin.
Vers quoi? C'est bien toute l'interrogation de ton blog ;-)
Bizz
Un billet bien mystérieux pour moi (comme souvent). reste que ce n'est pas de l'autocongratulation que je lis dans tes pages, même entre les lignes, et que peut-être, un peu de contentement de toi ne saurait te nuire ...
L'arpenteuse, une bonne discussion s'impose, je vois ;-)Je t'embrasse
Zelda
J'ai bien conscience que ces mots par leurs ellipses offrent bien peu de prise. Je ne sais aujourd'hui en parler autrement. Merci de ton écho très doux. Et toi, comment vas-tu ces derniers jours ? Des bises
Tu sais que je ne te fais pas reproche de tes énigmes, je les comprends et les aime bien. Simplement, elles me laissent parfois sans mot, alors que j'aimerais te répondre ...
Moi, je crois bien aller bien ;). je serai absente du net ces prochains jours (des notes sont préenregistrées sur mon blog), je reviens dans une quinzaine de jours.
Parfois le virtuel ne suffit plus pour échanger ;-)
Bonnes vacances, zelda ! (et on reprend à ton retour, ici ou ailleurs ?)
Bises
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