Beaucoup d'embouteillages à l'intérieur.
Ça klaxonne, ça bouchonne, ça pollue.
Les axes trop fréquentés ?
Je n'y ai pas (plus ?) ma place...
La générosité y devient naïveté.
Le vide du trop plein me poursuit,
je ne sais plus me poser, profiter,
juste accélérer encore un peu plus.
Mais le mur se rapproche...
Un grand coup d'air s'impose,
sur des chemins inconnus.
M'arrêter vraiment,
et m'effondrer dans l'herbe haute.
Y creuser un nid douillet,
pour me laisser chatouiller par les coccinelles,
endormir par les gazouillis amoureux.
M'étirer en baillant,
me faire chat,
entendre mon cœur me parler,
de l'instant présent
et respirer.
"Sous le soleil exactement
Pas à côté, pas n'importe où
Sous le soleil, sous le soleil
Exactement juste en dessous"
2 commentaires:
Quel beau programme ...
A défaut de quitter la grisaille "en vrai", une bouffée d'air imaginaire s'imposait ;-)
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