La petite porte rouge. Celle que je ne croise pas sans sourire.
Une porte où il faudrait se pencher pour entrer.
Attendre quelques secondes de s'accoutumer à la pénombre après la lumière éclatante du dehors.
Déchiffrer les ombres, sentir la fraîcheur, la sensation de l'espace autour.
Se laisser apprivoiser doucement par le rire à l'intérieur, celui de la joie qu'on laisse cascader partout. Ce rire d'enfant, malicieux comme un bonbon à la menthe.
Profiter de ce temps d'ombre et de repos, et décider à un moment de s'installer devant la fenêtre de poupée pour contempler les passants devant la petite porte rouge.
Les imaginer se pencher, et pousser la petite porte rouge...
Une porte où il faudrait se pencher pour entrer.
Attendre quelques secondes de s'accoutumer à la pénombre après la lumière éclatante du dehors.
Déchiffrer les ombres, sentir la fraîcheur, la sensation de l'espace autour.
Se laisser apprivoiser doucement par le rire à l'intérieur, celui de la joie qu'on laisse cascader partout. Ce rire d'enfant, malicieux comme un bonbon à la menthe.
Profiter de ce temps d'ombre et de repos, et décider à un moment de s'installer devant la fenêtre de poupée pour contempler les passants devant la petite porte rouge.
Les imaginer se pencher, et pousser la petite porte rouge...
2 commentaires:
Voyons. Quelle sorcière malicieuse peut se cacher derrière cette porte ?
Peut-être une des grands-mères dansantes de Clarissa ;-))
Et puis derrière le dedans de la petite porte rouge, je verrais bien un petit jardin sauvage avec un puits et pleins d'herbes magiques !
Ouh la ! Voilà une petite porte qui pourrait bien nous mener loin.
Bizz ma belle
Tu m'as donné envie d'écrire ma suite. Et la tienne ?
Bises
Enregistrer un commentaire