Je tourne, je vire, j'atermoie.
Une montagne à produire, et me voilà à tourner autour l'air de rien.
Collecter une feuille par ci, tirer un fil par là, appeler un tel pour en parler, sans méthode identifiée.
Ou plutôt en impressionniste.
Je ne sais pas avant tard quelle "tête "aura mon travail. Car je cherche avant tout à ce qu'il convienne à ceux qu'il concerne au premier chef, et au contexte du moment. Alors ça change souvent de forme avant que je sente que ça fait "tilt"
Le matin, je me lève et parfois coule une façon de faire. Et puis ça se met à ramer à nouveau. Mes mails et toutes les demandes annexes ne sont si bien traités que dans ces périodes-là.
Je devrais faire la sieste tant j'en ai mal dormi.
Pfuuuit...
Edit de 23 heures :
Je viens d'envoyer une version de travail de "ma montagne".
Finalement, râler ici m'a permis de repartir d'un nouveau pas.
Et là, tout de suite, en me préparant un encas bien mérité car j'ai pratiquement sauté tous les repas aujourd'hui, je me suis dit que j'avais dans ces cas-là tous les symptômes d'une femme qui accouche. Douleurs, agitation, impression que ça ne viendra jamais, et puis là, d'un coup, quelque chose qui se met en route et nous emporte...
Et tout ça pour un document ! Une occasion de plus de ne pas se prendre au sérieux ;-)
Une montagne à produire, et me voilà à tourner autour l'air de rien.
Collecter une feuille par ci, tirer un fil par là, appeler un tel pour en parler, sans méthode identifiée.
Ou plutôt en impressionniste.
Je ne sais pas avant tard quelle "tête "aura mon travail. Car je cherche avant tout à ce qu'il convienne à ceux qu'il concerne au premier chef, et au contexte du moment. Alors ça change souvent de forme avant que je sente que ça fait "tilt"
Le matin, je me lève et parfois coule une façon de faire. Et puis ça se met à ramer à nouveau. Mes mails et toutes les demandes annexes ne sont si bien traités que dans ces périodes-là.
- J'en ai le ventre noué de ne pouvoir programmer mon travail.
- Personne ne me demande des comptes , à part moi.
- Je ne compte pas une fois où je n'ai pas été au rendez-vous, au finish.
- Je n'ai pas vraiment confiance, je crois.
Je devrais faire la sieste tant j'en ai mal dormi.
Pfuuuit...
Edit de 23 heures :
Je viens d'envoyer une version de travail de "ma montagne".
Finalement, râler ici m'a permis de repartir d'un nouveau pas.
Et là, tout de suite, en me préparant un encas bien mérité car j'ai pratiquement sauté tous les repas aujourd'hui, je me suis dit que j'avais dans ces cas-là tous les symptômes d'une femme qui accouche. Douleurs, agitation, impression que ça ne viendra jamais, et puis là, d'un coup, quelque chose qui se met en route et nous emporte...
Et tout ça pour un document ! Une occasion de plus de ne pas se prendre au sérieux ;-)
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