Hier, au diner,je racontais cette impression qui me prend ces temps-ci d'être au pied d'une dune qui s'écroulerait lentement sur moi, grain après grain, et du fait que mes efforts ne faisaient peut-être qu'accélérer les choses.
A l'éclatant soleil printanier du matin, je la garde précieusement, cette dune, pour m'y blottir à l'abri du vent, yeux clos, baignés de lumière, avec le fracas ou le chuchotis des vagues pas loin. Quand j'entrouvre les yeux, je peux observer la vie minuscule et fourmillante qui vaque à ses petites occupations.
A l'éclatant soleil printanier du matin, je la garde précieusement, cette dune, pour m'y blottir à l'abri du vent, yeux clos, baignés de lumière, avec le fracas ou le chuchotis des vagues pas loin. Quand j'entrouvre les yeux, je peux observer la vie minuscule et fourmillante qui vaque à ses petites occupations.
2 commentaires:
Pas souvent de mots justes, pas souvent de mots tout courts pour faire écho ici ... Mais tes mots, à toi, font des échos précieux en moi.
Tu te rends compte que c'est beau ce que tu écris ?
Tu sais,je suis étonnée de ces mots qui viennent quand je ne cherche rien, sinon écouter ce qui se passe dans l'instant...
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