Ce qui se passe , c'est un changement de prisme.
L'extérieur ne s'efface pas, mais je le vois depuis l'intérieur, au lieu de toujours me mettre à la place de l'autre, de voir au travers son regard, ou ce que j'imagine de son regard.
[
C'était si inconfortable, si terrible de se sentir ainsi suspendue à une sentence, à chaque instant (peut-être aussi terrible qu'une de ces malédictions mythologiques).
Je fais le lien en l'écrivant mais jusque-là, en rêve, je voyais la femme que je suis, je ne l'étais pas....
]
Alors, il semble bien qu'à défaut de trouver l'objet de ma quête, j'ai trouvé un chemin.
A l'intérieur.
Au creux de chaque instant.
Il semble aussi que ce chemin doive s'épanouir d'abord pour qu'une autre sorte de lien aux autres puisse naître.
Un lien sans demande ni offre excessive ( mais n'est-ce pas la même chose ?).
Un lien gratuit.
Un lien d'amour.
Bon, ceci étant posé, je repars sur la route.
Et mon amour vole vers vous.
L'extérieur ne s'efface pas, mais je le vois depuis l'intérieur, au lieu de toujours me mettre à la place de l'autre, de voir au travers son regard, ou ce que j'imagine de son regard.
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C'était si inconfortable, si terrible de se sentir ainsi suspendue à une sentence, à chaque instant (peut-être aussi terrible qu'une de ces malédictions mythologiques).
Je fais le lien en l'écrivant mais jusque-là, en rêve, je voyais la femme que je suis, je ne l'étais pas....
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Alors, il semble bien qu'à défaut de trouver l'objet de ma quête, j'ai trouvé un chemin.
A l'intérieur.
Au creux de chaque instant.
Il semble aussi que ce chemin doive s'épanouir d'abord pour qu'une autre sorte de lien aux autres puisse naître.
Un lien sans demande ni offre excessive ( mais n'est-ce pas la même chose ?).
Un lien gratuit.
Un lien d'amour.
Bon, ceci étant posé, je repars sur la route.
Et mon amour vole vers vous.
3 commentaires:
Le soleil n’est jamais si beau qu’un jour où l’on se met en route (Jean Giono)
Etre : Ca parait si simple, et ça l'est, mais pour y arriver quelle discipline ;-))
Bonne route alors, bel oiseau
Mi
Gide, oui bien sûr. J'ai replongé dans Qu ma joie demeure ces derniers mois. Beauté et cruauté.
Merci de ces mots :-)
L'Arpenteuse
Et c'est bon d'en rire :-)))
Des bises malicieuses !
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