Je navigue ailleurs qu'ici ces derniers temps, et en terres extrêmes.
Celles de ma vie professionnelle d'hier, avec un investissement décuplé. Cette proposition aussi, étonnante voire incongrue, que je ne déclinerai pas avant d'en avoir fait le tour, même si cela ne ravit pas mon patron actuel.
Celles de ma vie professionnelle de demain, avec quelques réalisations justes, et ces deux jours d'explorations qui me laissent sans voix, les yeux et le cœur pleins d'étoiles.
En trait d'union ce nouveau cv bricolé hier soir. Un coming-out d'un autre type, où j'ose être celle que je suis, entre ces deux pôles que je veux concilier.
Ce serait un grand pas si je ne plongeais dans le même temps dans les affres du surmenage. Mes vies professionnelles, ma vie de femme et de mère, les fêtes du mois, et toutes ces obligations que je me crée plus qu'en partie s'entrechoquent, m'écrasant parfois au passage. Je grimace, m'arrête un instant le temps de souffler, mais une pirouette, et hop, ça repart sur un train d'enfer. Toujours du trop, mais quasiment rien que du bon, du très bon même. Renoncer serait un crève coeur, je ne sais m'y résoudre.
A part ça ? Et bien vous me manquez ;-)
Celles de ma vie professionnelle d'hier, avec un investissement décuplé. Cette proposition aussi, étonnante voire incongrue, que je ne déclinerai pas avant d'en avoir fait le tour, même si cela ne ravit pas mon patron actuel.
Celles de ma vie professionnelle de demain, avec quelques réalisations justes, et ces deux jours d'explorations qui me laissent sans voix, les yeux et le cœur pleins d'étoiles.
En trait d'union ce nouveau cv bricolé hier soir. Un coming-out d'un autre type, où j'ose être celle que je suis, entre ces deux pôles que je veux concilier.
Ce serait un grand pas si je ne plongeais dans le même temps dans les affres du surmenage. Mes vies professionnelles, ma vie de femme et de mère, les fêtes du mois, et toutes ces obligations que je me crée plus qu'en partie s'entrechoquent, m'écrasant parfois au passage. Je grimace, m'arrête un instant le temps de souffler, mais une pirouette, et hop, ça repart sur un train d'enfer. Toujours du trop, mais quasiment rien que du bon, du très bon même. Renoncer serait un crève coeur, je ne sais m'y résoudre.
A part ça ? Et bien vous me manquez ;-)
3 commentaires:
Ca va belle Lise enivrée, bousculée, ravie (au premier sens du terme aussi !)
Un peu comme toi, mon tourbillon est plus calme et pourtant j'entends toujours l'écho, de toi à moi.
Je t'embrasse.
Que dire cher papillon, si ce n'est que tu nous manque aussi ;-))
Et que la force soit avec toi !
Je t'embrasse
Que dire à toutes deux sinon que vos images me parlent.
Ivre,oui, et parfois avec une sacré gueule de bois (sans boire, je précise...)
Oui, papillon, et parfois papillon de nuit aux ailes qui sentent le brûlé.
Il serait temps de s'arrêter un peu, de revenir sur terre, de refaire pousser quelques racines et d'écouter le vent dans mes branches reverdies.
Des bises à vous deux dont le passage me touche infiniment.
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